Hanzo Hasashi

Hanzo Hasashi

24 ans

X-men

Hanzo possède des capacités de télékinésie. Il peut déplacer les objets ou des personnes autour de lui a distance en diminuant leurs masses. Ce pouvoir, lui permet de manipuler la matière au niveau moléculaire, de créer des champs de force autour de lui ou sur une zone précise, de voler ou de soulever ou presser plusieurs tonnes (5 tonnes) d'objets en même temps. Ses capacités sont pour ainsi dire sans limite, mais plusieurs facteurs peuvent atténuer ses pouvoirs, comme ses émotions, son état de concentration ou physique, la distance entre lui et la cible qu'il vise. Il également amasser des centaines d'objets afin d'en construire des choses complexes sans assistance mécanique ou humaine.

Hanzo possède une force physique normal d'un humain de son âge et sa corpulence. Il ne possède aucune formation sur les armes, les techniques d'auto-défense ou de conduite d'appareil terrestres, aérien ou marin. Son style de combat est gauche, plus proche d'un style de rue appris sur le tas que de réel technique d'auto-défense. Il est part contre très habile avec un couteau ou tout objet coupant de petites tailles (canif, couteau de cuisine, ciseaux, bouteille de verre cassé, vitre cassée). Il n'a aucun véritable maitrise de ses pouvoirs vu qu'il n'a jamais prit le temps d'apprendre a les contrôlés, ils vont et viennent de manière spontané ou dans des cas ou Hanzo est émotionnellement instable et lui cause d'horrible maux de tête. Hanzo parle uniquement l'anglais.

Hanzo est quelqu'un de froid, de distant et volontairement méchant avec les autres pour éviter tout lien affectif. Possiblement bipolaire, mais aucun diagnostique possible a été fait pour confirmer cette hypothèse puisque Hanzo se tient loin de tout centre médical. Il a une phobie des araignées, du noir et des espaces clos. Sarcastique et prompt à la colère, Hanzo prend toute reproche ou petite insulte comme une provocation officielle à se battre, dans ce genre de situation, il serre les poings et frappe le premier. Bisexuel et accrocs aux anti-douleurs, Hanzo porte les stigmates de sa vie absente d'amour, d'entre-aide et d'affection. Orphelin, il a dû apprendre à se débrouiller tout seul et a vite compris que personne ne l'aiderait dans quoi ce soit, s'il veut quelque chose, il le prend. Cette vie fait de violence, de prostitution, de drogue et de blessures, autant physique que mental, la rendu vide de tout lien affectif avec les gens. Il considère les gens qui essaient d'être proche de lui comme des parasites et pensent que ces gens ne veulent qu'une chose de lui et l'abandonneront dès qu'ils auront eu ce qu'ils désirent de lui. C'est pourquoi, il reste seul. Vulgaire et doté d'un langage crue, il ne mâche pas ses mots et dit clairement ce qu'il pense à qui veut l'entendre. Il peut lui arriver d'être aimable, mais seulement avec une bonne raison. Il aime particulièrement les chats, les chiens, la boxe, le tae kwon do et les sucreries.

Hanzo adopte le style gothique-emo. Les oreilles et les lèvres percées, cheveux long, naturellement noir, qu'il laisse long avec une franche qui lui couvre partiellement la moitié du visage. Les traits fin, une carrure svelte et élancé, son allure androgyne porte parfois a confusion sur son genre, mais une fois qu'il vous a parlé, les doutes ne sont plus présent. D'allure faible physiquement, il n'est pas dénuer de muscles, même s'il s'entraîne pratiquement jamais. Le cuir, les vêtements de couloir noir, blanc, gris ou rouge foncé, garnissent pauvrement son garde-robe. Quelques bijoux en argent, volé la plupart du temps, orne ses doigts et son cou.

En guise de costume, il porte une paire de bottes, un jean, t-shirt noir et un long manteau en cuir avec une paire de gants demi-doigts en cuir.

Hanzo est né en Angleterre de parents inconnues. Confier au service sociaux, il a été envoyé dans différente maison d'accueil jusqu'à l'âge de seize ans. Abusé, battu, laissez pour contre durant cette période de sa vie, Hanzo y a développé les débuts de son caractère d'aujourd'hui. Initié a la drogue et à la prostitution dans les rues de Londres, Hanzo ne voyait que ce moyen pour survivre dans cette horrible ville. Les bagarres de rues, fuir la police et embarquer avec des clients était son lot quotidiens pendant deux ans.

Deux années durant lequel il économise son argent pour voyager en Amérique où il espère avoir une meilleure vie. Entre temps ses pouvoirs se développe et ses maux de tête augmentent, au point qu'il se shoot tous les jours à la cocaïne, mais consomme aussi des anti-douleurs que l'on donne généralement aux personnes amputé ou aux grands brûlés. Il met les objets qui flottent autour de lui sur les causes d'un bad trip ou des effets hallucinatoire des drogues qu'il consomme.

En Amérique, Los Angeles, il n'y trouve pas une meilleure vie, mais une autre identique à la sienne, mais avec plus de cicatrices le soir. Dormir dans la rue ou dans un motel miteux, avec un client ou seul, sont les seuls endroits où il trouve un peu le sommeil. Il doit également faire face à la violence des gangs de rue, des pro-racistes et des anti-homosexuels. Un soir par semaine, il rentre avec un oeil au beurre noir, la lèvre en sang ou une nouvelle cicatrice sur le corps. Ses pouvoirs se manifeste de plus en plus, jusqu'au jour ou quelqu'un est victime d'un spasme télékinétique, un chat passe près de lui et est littéralement broyé sous ses yeux. Il prend peur et prend refuge dans des dose de cocaïne. Bien vite l'argent viens a manqué, alors il se met a volé des téléviseurs, des radios avec l'aide d'un gang de rue. L'argent rentre, mais est vite dépensé dans la drogue et le sexe. Sa vie se résume a ça pendant un an.

L'année suivante, il est pourchassé par un groupe d'anti-mutant dans une ruelle après avoir manifesté d'autre capacité télékinétique en broyant, malgré lui, la moitié d'une voiture. La peur s'installe en lui, si bien qu'il repousse d'un coup ses assaillants d'une seule poussée mentale. Il comprend alors ses talents, mais n'en profite pas bien longtemps puisqu'il doit fuir la police cette fois-ci. Étant un immigré clandestin, les forces de l'ordre ne doivent pas l'attraper. Il trouve refuge chez une jeune femme du nom de Lalita. Il reste quelques jours chez elle, a fumé du pot et coucher avec elle, avant de partir ailleurs. Entre temps, la peur et l'angoisse s'insinue en lui, la honte et le mépris de lui-même également. Il se dégoûte, le manque de drogue se fait sentir et l'inconnue de sa véritable identité font qu'il sombre dans une dépression qui le pousse a deux tentatives de suicides, qui rate. Lalita le soigne, tente en même temps de se rapprocher de lui, mais Hanzo se rétracte et la pousse, contre son gré, avec une vague télékinétique. Elle heurte un meuble avec la tête et meurt sous les yeux d'un Hanzo assaillit par la peur, l'effroit et le regret.

Il fuit Los Angeles, parcourt sur le pouce les états jusqu'à New York. Rendu là, il se tourne vers ce qu'il sait faire pour gagner de l'argent. Prostitution, vol et vente de drogue. Pendant un an, il vit ainsi, ronger par la honte et le dégout de ce qu'il est. Il en viens a détesté les mutants, les humains, mais ne fais rien contre eux pour autant. Il en vient a pensé que personne ne l'aime, qu'il est seul et que personne ne l'aiderait même s'il le demanderait. Il se coupe les poignets, voulant à nouveau en finir, puis se réveille à l'hôpital. Une personne se trouve devant lui, il lui propose de le suivre dans une institut privée pour des personnes comme lui. Il accepte, étant sa seul porte de sortit pour éviter l'extradition et peut-être avoir une nouvelle vie !

Hanzo était nue, assis sur le lit de la chambre de motel. Son client était allongé à côté de lui. Il tourna la tête vers lui. C'était un homme dans la trentaine environ, peut-être proche des quarante ans, Hanzo s'en fichait un peu de son âge. Grand, un peu gras du ventre, les bras minces et pratiquement pas de fesse, cet homme devait bosser dans un bureau, conclut le jeune homme. Il tourna son regard vers le mobilier de la chambre en s'allumant une cigarette. Elle était laide, mal éclairer, mais propre. Une télé, un lit, deux fauteuils, une table entre eux et deux tables basses de chaque côté du lit avec une lampe constituait le mobilier de la chambre. Au fond, derrière lui, il y avait une salle de bain, petite avec une toilette, un lavabo et une douche.

Les vêtements de l'homme et de Hanzo était éparpiller autour du lit. Le jeune asiatique repensait au moment intime qu'ils avaient passé, peu de caresse et de passion, mais beaucoup d'acte. Deux billets de cent dollars étaient posé sur la table en face de lui. Deux bouts de papier pour sucer une queue et me faire enculer, pensa Hanzo. Il soupira, expulsant un petit nuage de fumé grise, puis commença à mettre ses sous-vêtements. À peine, avait-il glissé un pied dans son boxer, qu'il sentit une main lui effleuré le dos puis glisser vers une épaule pour se poser dessus.

-tu pars déjà ?, demanda l'homme

Hanzo n'avait pas envie de répondre. La question était la réponse !. Mais l'homme n'avait pas été brutal avec lui, presque maladroit et hésitant part moment. Un autre qui ne sait pas ce qu'il veut, avait pensé Hanzo durant l'acte.

-Allonge la monnaie et je resterais plus longtemps, lâcha-t-il sèchement en enfilant son caleçon.

Deux heures plus tard, le client était parti avec deux cents dollars de plus en moins. Hanzo resta un moment à fixer le plafond de la chambre, allonger sur le sol, les draps du lit étaient souiller de semence et de salive, ce qui dégoûtait un peu le jeune homme. Une autre cigarette entre les doigts, a moitié entamée. Ses pensées tournaient autour de sa vie, il revoyait les moments avec ses clients et clientes. Certain pensait que les hommes étaient les plus brutaux avec lui, c'était totalement faux, c'était les femmes. Des êtres en manquent de pouvoir, qui trouvait leur bon petit plaisir en humiliant et battant Hanzo pour satisfaire leur égo et la haine des hommes qu'elles avaient. Elles se permettaient ce genre de caprices méprisant parce qu'elle avait payé pour ça. Mais a de rare occasions, Hanzo avait aussi croisé des hommes violents au lit. Le genre qui aime frapper ou faire mal, qui adore sentir la souffrance de l'autre pendant l'acte et ont un meilleur orgasme dans ces moments-là. D'autre aimait bien, homme ou femme, prendre un petit stimuli avant l'acte. Dans ces moments-là, c'était Hanzo qui s'occupait de préparer les doses. Il évitait d'en prendre quand il le pouvait, afin de rester lui-même et encore frais pour un autre client, s'il se sentait d'humeur.

-Bande de connard, sale pétasse constipé, marmonna-t-il en fumant.

Il les haïssait tous, méprisait chaque fibre de leurs êtres. Chaque caresses étaient horribles, chaque baiser un calvaire, les prendre ou être prit étaient insupportable à se remémorer !. La colère et la haine commençait à remplir son esprit, il sentait les murs et les meubles craqués, il pouvait sentir une emprise sur eux, comme des bras munies de mains puissantes qui enfonçaient leur doigt puissant dans la matière. Il revoyait ces hommes, ces femmes, ces êtres méprisables et il n'avait qu'une envie, les broyer, les détruire, les briser, faire disparaitre chaque molécule de leurs êtres. Faire en sorte que leurs existences même soit rayée de la carte. Alors, les meubles se brisèrent en morceaux, le lit fut plié en deux d'un coup, les murs furent marqué de part de longues cicatrices partant du plafond jusqu'au sol, les lampes explosèrent, la télévision vola d'un coup jusqu'à la porte et la heurta violemment. Puis tout s'arrêta lorsque Hanzo réalisa ce qu'il venait de faire.

Une boule se forma dans sa gorge et la peur le tenaillait à l'instant. Le fracas qu'il venait de faire, allait alerter les autres clients du motel, le propriétaire viendrait, la police également et il serait renvoyé en Angleterre. Il n'avait pas de papier d'identité sur lui, juste des vêtements et quatre cents dollars. Il se détestait a présent, sa vie, sa manière de vivre, ses dépendances aux drogues, son passé et ses choses qui volaient ou se brisaient autour de lui !. Il détestait tout cela et bien plus encore.

Il devait partir a présent, avant que la police arrive ou le propriétaire se pointe. Il se leva, jeta sa cigarette dans le cendrier qu'il avait gardé à côté de lui. C'était le seul truc qui n'avait pas volé dans la pièce ou briser. Il se retrouva dans la salle de bain, le robinet du lavabo laissait échapper de l'eau chaude, tempérer avec un peu d'eau froide. Il s'aspergea le visage d'eau tout en réfléchissant à ce qu'il devait faire. Il ignorait ou aller, ni quoi faire après être parti. La peur d'être prit a cet instant et renvoyer du pays l'empêchait de réfléchir correctement !. Il croisa son regard dans le miroir et prit d'une pulsion soudaine, il heurta le miroir avec son front. Des morceaux tombèrent dans le lavabo. Le jeune homme se mit à pleurer, emplie par le désespoir, la douleur et le sentiment d'être perdu. Les larmes qui coulaient sur ses joues, il prit un morceau de miroir, le plus pointu, mit le bouchon dans le trou du lavabo et la regarda se remplir lentement avant de plonger la pointe sur son poignet droit. La douleur et le sang sortirent en même temps, mais Hanzo continua de couper un peu plus, puis plongea son poignet dans l'eau. Il vit l'eau devenir rouge, de plus en plus de sa vie sortait de lui et il se mit à sourire. Alors,les ombres apparurent et il tomba dans les ténèbres.

Hanzo se réveilla, il entendait le tintement monotone d'un électrocardiogramme près de lui et avait mal au poignet. Il réalisa alors qu'il était allongé sur un lit et qu'il portait une sorte de ...robe !!. Il ouvrit les yeux et tenta de se lever, mais une main se posa sur son torse pour le forcer à rester coucher. Sa vue était embrouillée, comme s'ils avaient prit un cocktail de drogue dur et qu'il s'en remettait en ce moment. Sa tête lui faisait mal et il pouvait sentir qu'il avait quelque chose de doux autour du front, la même sensation était présente sur son poignet. Il comprit alors qu'il était a l'hôpital et que la personne qui l'avait forcé à rester en place était soit un policier, soit un agent de sécurité de l'établissement. Ce dernier sortit après avoir discuté avec quelqu'un. Hanzo n'aurait pas sut si la personne qui entrait à l'instant était un homme ou une femme, même lorsqu'elle parlait, sa voix était difforme et marqué de plusieurs intonations différentes, comme si, il ou elle parlait au ralentit, mais à une vitesse normal !.

-Bonjour, déclara l'étranger ou l'étrangère, j'aimerais te parler d'un établissement pour surdoué comme toi !.

23 ans

7 jours sur 7, sa dépendra ésentiellement de ma disponibilité, de ma motivation et celle des autres sur le forum. ^^

Alice m'a donné le lien du forum